Prochaine étape: San Diego à 250 kilomètres et comme c'était déjà tard, on s'est dit qu'on allait pas traîner si on voulait pas y arriver à des heures impossibles.
Et comme on sait jamais ce qui peut arriver.........
C'est encore un automobiliste qui nous a informé de ce qui nous arrivait en nous dépassant.
On était en train de paumer nos bicyclettes sur l'autoroute, et ça, c'est pas une bonne idée. Oh non non non!
La roue du vélo de Nina touchait presque par terre.
La barre noire est normalement verticale.
On a encore eu de la chance comme d'habitude.
On a démonté tout ça, rangé les 4 vélos dans la maison et on a repris notre route.
San Diego. Voilà où qu'on est arrivé pour notre première nuit au bord du Pacifique.
Bon, on était au bord du Pacifique dans une zone commerciale sur le parking du Walmart à 25 kilomètres de l'océan.
C'est pas parce que t'es dans un bled au bord de l'eau que t'as forcément du sable dans les godasses.
C'est quand même 1 500 000 habitants et ils sont pas tous sur la plage.
Mais comme on est arrivé tard, ça allait très bien. J'ai vite déchargé les vélos qui nous empêchaient d'accéder à la salle de bain, au frigo et aux chambres et hop, tout le monde au lit. Bonne nuit.....
Première mission du matin: Trouver un porte vélos.
Dans l'heure qui suivait, le problème était réglé.
Et départ pour un tour en ville montrer à tout San Diego notre support à vélos tout neuf.
San Diego c'est grand alors on s'est pas embêté.
Notez que même quand on est nulle part, on s'embête jamais.
Sea World, le Zoo, la Baie, la ville, les parcs et tout le reste. C'est une ville pleine de trucs.
Quelle poisse on va devoir y rester plus de temps que prévu.
Tant mieux. On avait rien prévu.
J'ai encore fait des découvertes à San Diego.
Des panneaux que j'avais jamais vu ailleurs.
Interdiction de traîner son chien sur le cul.
Interdiction d'essayer de jouer les Spider-man.
Interdiction de faire des pets si on promène son chien et qu'on a pas toute sa tête.
C'est drôle, les gens veulent faire de ces trucs bizarres des fois.
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